Conçu pour contrer le char T-34 soviétique et remplacer les Panzerkampfwagen III et les Panzerkampfwagen IV, il servit en définitive à leurs côtés, jusqu'à la fin de la guerre, en trois versions principales : « D », « A », « G ». De même, le char est divisé en trois parties générales : bloc moteur, bloc de combat et bloc avant (conduite et radio). Lorsque les conditions le permettaient, certains équipages utilisèrent les accidents du terrain pour incliner leur engin et ainsi son blindage. Celui-ci, utile pour un char auquel son poids interdit nombre de ponts, permet au À l'instar des Panzer III et IV, l'engin accueille un équipage de cinq hommes, trois en tourelle et deux en caisse : un conducteur, un radio, un tireur, un chargeur et un chef de char ; une telle composition des équipages de chars ayant fait ses preuves aux dépens des Français, Britanniques et Soviétiques. La tourelle repose sur une piste circulaire de 1,79 Le compartiment moteur occupe entièrement l'arrière du char. Toutefois, ce prix est indicatif, le coût du char pour l'économie allemande augmentant avec la raréfaction des matériaux stratégiques ainsi que de la main d'œuvre qualifiée, ce qui est aussi valable pour les autres chars allemands en fonction de la quantité de matériaux stratégiques et de temps de travail qualifié requise pour leur construction.
Ceci ne changeait en revanche pas grand-chose au fait que le char était trop lourd pour la majorité des ponts de l'époque, ce qui réduisait de beaucoup sa mobilité tactique. Tout au long de sa carrière, il subit diverses modifications, par exemple pour permettre l'usage de certaines pièces standardisées avec le Les lance-grenades / fumigènes / mines disparaissent également la même année car jugées trop sensibles aux éclats d'obus et aux balles de petit calibre.
Tiger II tanks fitted with the narrower "vehicle-transport tracks" of the Schwere Heeres Panzer Abteilung 503 (s.H.Pz.Abt. Le moteur est remplacé par un modèle plus puissant. caisse et superstructure avant inférieure : 102 mm 182 Panzer VI Ausf.
Toujours dans le cas d'un tir tendu, l'épaisseur à traverser pour l'obus était donc égale à l'épaisseur du blindage. Ces deux écoutilles font partie d'une grande plaque rectangulaire démontable afin d'effectuer des opérations de changement sur la transmission. Toutefois en combat ces chances sont bien inférieures, sous les 20 %. En effet, à l'origine, le mantelet du canon, semblable à celui des premières tourelles de Panther, c'est-à-dire en demi-cylindre horizontal, risquait de provoquer la destruction du char au cas où un obus touchait de plein fouet la partie inférieure de ce mantelet, obus qui, par ricochet, pénètrerait ainsi les œuvres vives du char, par le toit du poste de pilotage faiblement blindé. arrière: 82 mm Ils sont séparés par l'imposante boîte de vitesses dont la présence à l'avant est due à celle des barbotins d'entrainement. L'engin recula et disparut dans la forêt. Dessiné par l’entreprise allemande Henschel, ce nouveau char doit remplacer à terme le Tigre.Les premières unités sont livrées début 1944 et le char connait son baptême du feu en mai de la … » Ils servaient à étouffer les flammes à la sortie du pot d'échappement du char, évitant les rougeoiements et rendant le char plus discret de nuit. La radio se trouve à droite de son servant. Le Panzerkampfwagen VI Königstiger ou Sd.Kfz. Les ingénieurs mirent au point un système de train de roulement permettant d'éviter, à l'inverse du Tigre I, que les chenilles ne s'enrayent avec la boue, la glace et les rochers.
Ceci ne changeait en revanche pas grand-chose au fait que le char était trop lourd pour la majorité des ponts de l'époque, ce qui réduisait de beaucoup sa mobilité tactique. Tout au long de sa carrière, il subit diverses modifications, par exemple pour permettre l'usage de certaines pièces standardisées avec le Les lance-grenades / fumigènes / mines disparaissent également la même année car jugées trop sensibles aux éclats d'obus et aux balles de petit calibre.
Tiger II tanks fitted with the narrower "vehicle-transport tracks" of the Schwere Heeres Panzer Abteilung 503 (s.H.Pz.Abt. Le moteur est remplacé par un modèle plus puissant. caisse et superstructure avant inférieure : 102 mm 182 Panzer VI Ausf.
Toujours dans le cas d'un tir tendu, l'épaisseur à traverser pour l'obus était donc égale à l'épaisseur du blindage. Ces deux écoutilles font partie d'une grande plaque rectangulaire démontable afin d'effectuer des opérations de changement sur la transmission. Toutefois en combat ces chances sont bien inférieures, sous les 20 %. En effet, à l'origine, le mantelet du canon, semblable à celui des premières tourelles de Panther, c'est-à-dire en demi-cylindre horizontal, risquait de provoquer la destruction du char au cas où un obus touchait de plein fouet la partie inférieure de ce mantelet, obus qui, par ricochet, pénètrerait ainsi les œuvres vives du char, par le toit du poste de pilotage faiblement blindé. arrière: 82 mm Ils sont séparés par l'imposante boîte de vitesses dont la présence à l'avant est due à celle des barbotins d'entrainement. L'engin recula et disparut dans la forêt. Dessiné par l’entreprise allemande Henschel, ce nouveau char doit remplacer à terme le Tigre.Les premières unités sont livrées début 1944 et le char connait son baptême du feu en mai de la … » Ils servaient à étouffer les flammes à la sortie du pot d'échappement du char, évitant les rougeoiements et rendant le char plus discret de nuit. La radio se trouve à droite de son servant. Le Panzerkampfwagen VI Königstiger ou Sd.Kfz. Les ingénieurs mirent au point un système de train de roulement permettant d'éviter, à l'inverse du Tigre I, que les chenilles ne s'enrayent avec la boue, la glace et les rochers.