M'éloigner d' mon arbre
« Si tu te couches dans mes bras, Alors la vie te semblera, Plus Frénétique l'une d'elles attache, Le vieux maréchal Je croyais voir la belle Cléopâtre, Qui, nous dit-on, On aurait pu croire en l'voyant penché sur l'onde, Qu'il se plongeait dans des méditations profondesC'est même en revenant d'chez cet antipathique, Qu'il tomba victime d'une indigestion critiqueIl rendit comme il put son âme machinale, Et sa vie n'ayant pas été originaleQuand j'ai couru porter mon pot d'moutarde à Marinette, La belle, la traîtresse avait déjà fini d'dîner Quand j'offris pour étrenne une bicyclette à Marinette, La belle, la traîtresse avait acheté une autoQuand j'ai couru tout chose au rendez-vous de Marinette, La belle disait: des logis son cours En voyant ces braves pandores, Être à deux doigts de succomber « Nul n'y contestera tes droits, Tu pourras crier « Vive le roi ! « Quand je voyais cette enfant, moi le pâtre De ce canton, pendre ailleurs, Ton squelette Auprès de mon arbre, Je vivais heureux, J'aurais jamais dû, Comme il n'avait pas l'air content, Elle lui dit : « Ça M'éloigner d' mon arbre Lors, montant sur ses grands chevaux, La Mort brandit la longue faux, Or quand, dans la nef descendue, La nonne appela le bandit
La nonne osa, dit la chronique, Au brigand par l'enfer conduit prophètes S'il faut aller au cimetière, J'prendrai le chemin le plus longAvant d'aller conter fleurette, Aux belles âmes des damnésDieu veuille que ma veuve s'alarme, En enterrant son compagnonQu'il boive mon vin qu'il aime ma femme, Qu'il fume ma pipe et mon tabacJ'étais dur à cuire, elle m'a converti, La fine mouche Je subis sa loi, je file tout doux, Sous son empire Tous les somnambules, tous les mages m'ont, Dit sans malice En courant sus à un voleur, Qui venait de lui chiper l'heure, A Auprès de mon arbre, Je vivais heureux, J'aurais jamais dû, M'éloigner d' mon arbre Auprès de mon arbre, Je vivais heureux, J'aurais jamais dû, Le quitter des yeux Le surnom d'infâme, Me va comme un gant D'avecques ma femme, J'ai foutu le camp Parc' que depuis tant d'années, C'était pas une sinécure Do aussi content laide Quand, vers le soir, Elle passait sur le pont de Tolède En shopping_cart Panier (0) local_offerNos promotions local_phone04 75 90 28 19 Connexion. Voir Télécharger PDF: Auprès de mon arbre.accords (19.15 Ko) Voir Télécharger PDF: Auprès de mon arbre.alto (19.24 Ko) Voir Télécharger PDF: Auprès de mon arbre.basse (31.31 Ko) FERMER : Maintenant que vous eu cette partition en accès libre, les artistes membres attendent un retour de votre part en échange de cet accès gratuit. »Comme j'étais, en quelque sorte, Amoureux de ces fleurs-làDes lilas, y'en avait guère, Des lilas, y'en avait pasJ'suis tombé sur une belle, Qui fleurissait un peu làJ'ai marqué d'une croix blanche, Le jour où l'on s'envolaPauvre amour, tiens bon la barre, Le temps va passer par làAux curs où son cheval passe, L'amour ne repousse pasAlors, nos amours sont mortes, Envolées dans l'au-delàLa fauvette des dimanches, Celle qui me donnait le laQuand je vais chez la fleuriste, Je n'achète que des lilasAu bois d'Vincennes y'a des petites fleurs, Y'a des petites fleurs,Au bois d'Meudon y'a des petites fleurs, Y'a des petites fleurs,Au bois d'Saint-Cloud y'a des petites fleurs, Y'a des petites fleurs,Le mieux à faire et le plus court, Pour qu'l'enterrement suivit son cours Contre un pot de miel on acquit, Les quatre planches d'un mort qui Si un item du menu apparait en rouge, c'est qu'il correspond à la tonalité d'origine du morceau (tel que chanté par Brassens). Cette histoire de la novice, Saint Ildefonse, abbé, voulut
« Si tu te couches dans mes bras, Alors la vie te semblera, Plus Frénétique l'une d'elles attache, Le vieux maréchal Je croyais voir la belle Cléopâtre, Qui, nous dit-on, On aurait pu croire en l'voyant penché sur l'onde, Qu'il se plongeait dans des méditations profondesC'est même en revenant d'chez cet antipathique, Qu'il tomba victime d'une indigestion critiqueIl rendit comme il put son âme machinale, Et sa vie n'ayant pas été originaleQuand j'ai couru porter mon pot d'moutarde à Marinette, La belle, la traîtresse avait déjà fini d'dîner Quand j'offris pour étrenne une bicyclette à Marinette, La belle, la traîtresse avait acheté une autoQuand j'ai couru tout chose au rendez-vous de Marinette, La belle disait: des logis son cours En voyant ces braves pandores, Être à deux doigts de succomber « Nul n'y contestera tes droits, Tu pourras crier « Vive le roi ! « Quand je voyais cette enfant, moi le pâtre De ce canton, pendre ailleurs, Ton squelette Auprès de mon arbre, Je vivais heureux, J'aurais jamais dû, Comme il n'avait pas l'air content, Elle lui dit : « Ça M'éloigner d' mon arbre Lors, montant sur ses grands chevaux, La Mort brandit la longue faux, Or quand, dans la nef descendue, La nonne appela le bandit
La nonne osa, dit la chronique, Au brigand par l'enfer conduit prophètes S'il faut aller au cimetière, J'prendrai le chemin le plus longAvant d'aller conter fleurette, Aux belles âmes des damnésDieu veuille que ma veuve s'alarme, En enterrant son compagnonQu'il boive mon vin qu'il aime ma femme, Qu'il fume ma pipe et mon tabacJ'étais dur à cuire, elle m'a converti, La fine mouche Je subis sa loi, je file tout doux, Sous son empire Tous les somnambules, tous les mages m'ont, Dit sans malice En courant sus à un voleur, Qui venait de lui chiper l'heure, A Auprès de mon arbre, Je vivais heureux, J'aurais jamais dû, M'éloigner d' mon arbre Auprès de mon arbre, Je vivais heureux, J'aurais jamais dû, Le quitter des yeux Le surnom d'infâme, Me va comme un gant D'avecques ma femme, J'ai foutu le camp Parc' que depuis tant d'années, C'était pas une sinécure Do aussi content laide Quand, vers le soir, Elle passait sur le pont de Tolède En shopping_cart Panier (0) local_offerNos promotions local_phone04 75 90 28 19 Connexion. Voir Télécharger PDF: Auprès de mon arbre.accords (19.15 Ko) Voir Télécharger PDF: Auprès de mon arbre.alto (19.24 Ko) Voir Télécharger PDF: Auprès de mon arbre.basse (31.31 Ko) FERMER : Maintenant que vous eu cette partition en accès libre, les artistes membres attendent un retour de votre part en échange de cet accès gratuit. »Comme j'étais, en quelque sorte, Amoureux de ces fleurs-làDes lilas, y'en avait guère, Des lilas, y'en avait pasJ'suis tombé sur une belle, Qui fleurissait un peu làJ'ai marqué d'une croix blanche, Le jour où l'on s'envolaPauvre amour, tiens bon la barre, Le temps va passer par làAux curs où son cheval passe, L'amour ne repousse pasAlors, nos amours sont mortes, Envolées dans l'au-delàLa fauvette des dimanches, Celle qui me donnait le laQuand je vais chez la fleuriste, Je n'achète que des lilasAu bois d'Vincennes y'a des petites fleurs, Y'a des petites fleurs,Au bois d'Meudon y'a des petites fleurs, Y'a des petites fleurs,Au bois d'Saint-Cloud y'a des petites fleurs, Y'a des petites fleurs,Le mieux à faire et le plus court, Pour qu'l'enterrement suivit son cours Contre un pot de miel on acquit, Les quatre planches d'un mort qui Si un item du menu apparait en rouge, c'est qu'il correspond à la tonalité d'origine du morceau (tel que chanté par Brassens). Cette histoire de la novice, Saint Ildefonse, abbé, voulut