Le Sanglier le meurtrissait avec ses défenses ; le Taureau l’attaquait avec ses cornes. Mais quand elle se sentit réchauffée, et qu’elle eut repris ses forces, elle se mit à répandre son venin par toute la maison.
Il se tint toujours si bien attaché à la Grenouille, qu’elle ne put jamais s’en défaire. Sa morale est explicite et sonne Remarquable de par sa concision la fable de La Fontaine parvient à concilier respect du texte initial et originalité de la réécriture. Elles furent recueillies par Démétrios de Phalère dès la fin du Ve siècle. Esope fut son plus grand inspirateur.La Fontaine a été fabuleusement inspiré par Esope. Un pré plein d’herbe et fleurissant : Non pas, dit le vieillard, qui prit d’abord le large. »Un Loup s’étant enfoncé par hasard un os dans la gorge, promit une récompense à la Grue, si elle voulait avec son bec retirer cet os, dont il se sentait incommodé. Le roi de Lydie l’aurait envoyé en mission dans de nombreuses cités grecques et il aurait voyagé également en Afrique et en Orient.Les courtes fables ou apologues (elles mêmes inspirées de contes orientaux) dont il serait l’auteur faisaient partie de la tradition orale.Les acteurs de ses fables mettent en scène des animaux dont le comportement est une véritable morale pour l’homme.Plusieurs thèmes y sont développés : la difficulté de changer son destin, l’avarice « posséder sans jouir n’est rien », la solidarité « l’union fait la force », l’amitié, la tromperie de la flatterie, la valeur de l’effort, du travail, l’art de savoir utiliser son talent, la justice etc.Ces fables étaient connues des athéniens dès la fin du VIe siècle av JC. Of diverse origins, the stories associated with his name have descended to modern times through a number of sources and continue to be reinterpreted in different verbal registers and in popular as well as artistic media.
Pour y réussir et pour amuser le Corbeau, il commença à le louer de la beauté de son plumage. Le Renard étant de retour, et voyant la perfidie de sa voisine, fut moins attristé du malheur de ses petits, que du désespoir d’être hors d’état d’en tirer vengeance, parce qu’il ne pouvait s’élever dans l’air pour poursuivre son ennemie. J’indiquerai ce site comme source.Chez Homère les compagnons d’Ulysse sont tous transformés en parc, alors que chez La Fontaine ce sont des animaux différents différents avec des caractères différents.
Quand ils le virent usé et affaibli par les années, ils résolurent de concert de tirer vengeance de ses cruautés, et de lui rendre la pareille. Que moi, qui, grâce aux dieux, de courage me pique, Je l’allais aborder, quand d’un son plein d’éclat Quant au chat, c’est sur nous qu’il fonde sa cuisine. Ensuite faisant aussitôt réflexion qu’un misérable Âne n’était pas digne de sa colère et de sa vengeance : » Malheureux, lui dit-il, je te punirais sévèrement de ton audace, si tu en valais la peine ; mais tu n’es pas digne de ma vengeance. Nous verrons dans un premier temps les points communs entre les deux productions, puis dans un second temps ce qui fait l’originalité de la réécriture de La Fontaine.S’il y a bien des différences entre une Grue et une Cigogne, force est de constater que Le loup de La Fontaine est dans la même situation critique que celui d’Esope. Des taillis les plus hauts mon front atteint le faîte; Nous faisons cas du beau, nous méprisons l’utile; «Gageons, dit celle-ci, que vous n’atteindrez point J’entends de ceux qu’il fait lorsque, prêt d’être atteint, Il partit comme un trait; mais les élans qu’il fit « Les coqs, lui disait-il, ont beau chanter matin ; Mais ici point d’aubaine ; ou, si j’en ai quelqu’une, C’est de coups. Ensuite faisant aussitôt réflexion qu’un misérable Âne n’était pas digne de sa colère et de sa vengeance : » Malheureux, lui dit-il, je te punirais sévèrement de ton audace, si tu en valais la peine ; mais tu n’es pas digne de ma vengeance. Le Laboureur irrité d’une ingratitude si noire, lui fit de grands reproches, et ajoutant l’effet aux menaces, il prit une cognée pour couper en mille morceaux le Serpent ingrat qui rendait le mal pour le bien, et qui voulait ôter la vie à son bienfaiteur.Un Âne ayant rencontré par hasard un Sanglier, se mit à se moquer de lui et à l’insulter ; mais le Sanglier frémissant de courroux et grinçant les dents, eut d’abord envie de le déchirer et de le mettre en pièces.