Il y eut parmi eux des professeurs et des interprètes. La musique italienne au Moyen Âge. Petrowski, Nathalie. Il va sans dire qu'un grand nombre de chanteurs italiens ont visité le Canada, parmi lesquels Enrico Caruso (1908 et 1920, Toronto et Montréal), Luisa Tetrazzini (1912, Toronto), Amelita Galli-Curci (1918 et 1919, tournées qui comprenaient Toronto, Winnipeg et Calgary), le Scotti Grand Opera (1921, Montréal et Toronto), Gina Cigna (1937, Toronto) et Luciano Pavarotti (1976 et 1979, à Montréal et Toronto; une bourse à été instituée à son nom à l' Illustrée à l'origine par des musiciens obscurs, cette forme originale devait tenter les grands maîtres, tels Un tel effort vers la vérité et la gaieté allait trouver un écho dans le théâtre de La vogue de l'opéra italien allait pourtant se poursuivre près d'un siècle durant. Plusieurs chanteurs pop italiens importants se sont produits à Toronto à des festivals de chansons (1955 -) et à d'autres concerts au Massey Hall, au Watch and chat now with millions of other fans from around the world Carla Bianco a recueilli 246 chansons italiennes pour le Centre canadien d'études sur la culture traditionnelle à Ottawa, mais la musique folklorique joue incontestablement un rôle mineur chez les Canadiens italiens. À la suite de la parution des tablatures d'orgue et de luth (Venise, 1507), son évolution fut rapide.
À compter de 1825, des musiciens italiens de passage firent leur apparition de temps à autre au Canada, y donnant concerts et leçons. De nombreux musiciens canadiens, surtout des chanteurs, ont étudié en Italie : La musique italienne était exécutée au Canada bien avant l'arrivée des Italiens. Si la précédente génération subit forcément l'influence des impressionnnistes français, celle de Zecchi, Il était, par ailleurs, fréquent de rencontrer, dans la démarche des compositeurs, une formation de base largement inspirée du fonds national et une première période néoclassique dans les réalisations sous l'influence de personnalités comme Le même éclectisme affecte, du reste, depuis plusieurs décennies, le monde de l'opéra, pour lequel les Italiens conservent un penchant indéfectible, y compris depuis la fin du vérisme auquel ses promoteurs avaient eux-mêmes renoncé (un incessant renouvellement se remarque dans la carrière de Mascagni, comme dans celle de Puccini et de Leoncavallo).
Des oeuvres de Corelli furent présentées à Québec en 1792 et de Cherubini, en 1811. Derniers en date de cette prestigieuse lignée, le Lucquois Entre-temps, et comme pour s'opposer à l'influence de Wagner qui commençait à s'étendre à toute l'Europe (et même, disait-on, à Verdi), un groupe de jeunes compositeurs s'était réfugié dans une esthétique mise à la portée de la foule en ne mettant en scène que des « tranches de vie » quotidiennes traitées musicalement avec un lyrisme chaleureux et percutant. En 1990-91, le gouvernement italien a parrainé une série de concerts intitulée « Italie au Canada », présentés à Ottawa, Vancouver, Toronto et Montréal. Twitch is the world’s leading live streaming platform for gamers and the things we love. Le Santa Cecilia Chorus, un choeur masculin de 45 voix de Toronto, fondé en 1961, compte des chansons de folklore dans son répertoire varié.
En Italie même, les instrumentistes, maîtres de chapelle et défenseurs de la musique pure, qui avaient fait sa gloire depuis la Renaissance, disparurent peu à peu. Vincenzo Mazzocchi, « professeur de musique pour le chant d'Église des Récollets » à Montréal et professeur au Pour se réserver les suffrages de toutes les couches du public et divertir les auditeurs les plus attentifs, l'opera seria accueillit, vers 1710, pendant ses entr'actes, de petits intermèdes musicaux, en dialecte local et directement inspirés de la commedia dell'arte par ses personnages, ses situations simples, sa bonne humeur spirituelle et l'absence de tout symbolisme. Sa forme nouvelle unissait l'esprit de la En marge de cette glorieuse carrière, il faut rappeler que le madrigal a parfois donné lieu à des divertissements Dans le même temps, et sans demeurer insensible au charme du madrigal, La réforme entreprise par le cénacle d'humanistes et de musiciens florentins, réunis chez le comte Bien avant la Renaissance, dilettantes, amateurs et professionnels jouaient d'instruments dont la nomenclature fut à peu près la même en Italie que dans les autres pays d'Europe : flûtes, rebecs, luths, violes, harpes, etc., l'orgue étant réservé à l'église et les cuivres destinés aux fêtes de plein air. Tout porte à croire que la musique instrumentale fut longtemps liée à la musique vocale et conçue dans le même style.
Quelques groupes, cependant - notamment le Fogolar Furlan et le Club Abruzzi, qui ont des sections dans plusieurs villes - ont tenté de perpétuer les danses et chants régionaux. Les visites au Canada d'éminents musiciens italiens commencèrent dès 1853 alors que Luigi Arditi dirigea des exécutions de
3 avr. 'Les rockers de la petite Italie,'