Voici en images -souvent insoutenables-, ses conséquences terribles sur la santé et l'environnement.
Conclusion : nous sommes si nombreux, nous construisons et aménageons tellement, nous polluons et chassons (dans quel but?) Vos données personnelles collectées resteront strictement confidentielles.
Ça n’empêche évidemment pas des reportages racoleurs de prendre des enfants qui ont des malformations absolument pas liées aux radiations, comme des enfants atteints de neurofibromatose (maladie de "elephant man"), et d'affirmer que c'est le résultat des radiations. À part, de temps en temps, un symbole « radioactif » sur un panonceau et l’aspect curieusement désert et hors du temps des lieux, rien n’indique que nous sommes dans un des endroits les plus contaminés du monde. S'il pense que cette étude est "un pas très positif pour la recherche sur les impacts potentiels d'accidents nucléaires sur la santé et l'environnement", il estime aussi qu'il faut davantage de recherches sur le sujet :Pour Tim Smith, en revanche, "la zone de Tchernobyl est une zone d'expériences fascinante car elle nous permet d'étudier les transferts et les effets de la radioactivité sur le long terme. Pourriez-vous me dire quelles sont les villes (surtout en Russie) qui ont encore de risques de contamination radioactive ?
Pour Jim Beasley, de l'université de Georgie, co-auteur de l'étude, "ces données uniques montrant un large éventail d'animaux qui prospèrent à quelques kilomètres d'un accident nucléaire majeur illustrent la résistance des populations sauvages lorsqu'elles sont libérées de la pression des habita…
« À notre connaissance, la radioactivité est le phénomène qui entraîne le plus de mutations chez l’homme ou l’animal », explique Anders Moller, chercheur au CNRS et spécialiste de Tchernobyl. Cependant, elle l'est moins pour la nature que notre propre activité.
"Dans la zone d'exclusion, certains endroits sont très contaminés, d'autres non. Voir les Ils faut des gens comme vous pour combattre le mal et la cupidité, ont peut les appeler des héros! Les sangliers auraient même atteint un pic de population avant de décroître à nouveau... mais à cause de l'augmentation du nombre de loups et une épidémie non liée aux radiations.D'après les décomptes effectués par ces scientifiques, le nombre de gros mammifères, dont les élans, chevreuils, cerfs, sangliers et loups, serait aujourd'hui similaire à celui de quatre réserves naturelles non contaminées de la région (en Biélorussie). © 2020 Le HuffPost SAS. Je vais vous présenter un document ukrainien sur les mutations dans la région de Tchernobyl, filmé par M. Kouznetsov dans les années 90 dans différents Instituts de Kiev, de la région de Jitomir et dans la zone des 30 km d'exclusion.
J'ai vu la série Tchernobyl, mais n'oublions Three Mile Island qui s'est produit le 28 mars 1979, et plus récemment la catastrophe nucléaire de Fukushima, accident industriel majeur qui a débuté le 11 mars 2011 au Japon, à la suite du tsunami. Et le résultat est contre-intuitif: "Les oiseaux qui vivent dans les zones les plus radioactives autour de Tchernobyl sont en meilleure santé que les individus capturés dans les zones moins atteintes", affirme-t-il Mais cela reste un cas rarissime et la quasi-totalité des rares études sur les mutations de ces petits animaux, à l'instar de celles sur les campagnols et les hirondelles, sont en général négatives. Video La ville ukrainienne est devenue un authentique laboratoire où énigmes et paradoxes se succèdent. Oui, même si ça ne se voit pas. Les données étudiées ne comprennent cependant pas d'éléments concernant la santé ou le taux de reproduction des animaux, mais les chercheurs ont exclu que les populations actuelles de mammifères soient influencées par d'éventuels afflux en provenance d'autres zones.