Le gouvernement du président Andrés Manuel Lopez Obrador a pris des mesures pour améliorer la situation des droits humains au Mexique durant les 100 premiers jours de son mandat, mais il doit encore prendre les initiatives décisives qui permettront de convaincre le pays de sa volonté d’apporter un changement, a déclaré Amnesty International le 12 mars. Le célèbre narcotrafiquant El Chapo a-t-il vraiment versé 100 M$ à l’ex-président du Mexique Pena Nieto? Blog d'information et d'analyse des mouvements politiquesMexico 18 mars (RHC)- Le président du Mexique, Andrés Manuel López Obrador, a déclaré formellement la fin de la politique néolibérale dans son pays.Au cours de la clôture des forums Planifiant Ensemble la Transformation du Mexique, Andrés Manuel López Obrador a expliqué plusieurs concepts et grandes lignes pour construire une proposition post-néoliberale et un modèle viable de développement économique pour le pays sous son gouvernement.L'offensive d'Andrés Manuel López Obrador contre le modèle néo-libéral au Mexique est l'une de ses bannières depuis plusieurs années et il a signalé à maintes reprises que cette politique a été appliquée dans le pays ces 36 dernières années, que ses directrices étaient envoyées depuis l'étranger et que les présidents précédents les appliquaient.Abonnez-vous pour être averti des nouveaux articles publiés. Le Premier ministre Marrero reconnaît le travail des médecins cubains au Mexique Il a qualifié cette étape de véritable cauchemar. Coopération médicale cubaine, l’exploit de sauver des vies au Mexique A cause du conflit, 19 des 50 villes les plus dangereuses au monde, dont les 5 premières (Tijuana, Ciudad Juárez, Uruapan, Irapuato et Ciudad Obregón), en 2019 se trouvent au Mexique [6] ' [7]. Ce n’est que s’il est convaincu de la plus grande des trahisons envers la patrie qu’un dirigeant du pays pouvait être poursuivi jusqu’à ce jour. Le 25 juillet 2019, Jean-Luc Mélenchon rencontrait Andrés Manuel López Obrador (AMLO), le Président du Mexique. Le président du Mexique menacé par un groupe criminel. Le président AMLO s’est montré soucieux de poursuivre cette trajectoire de consolidation budgétaire, et prône une orthodoxie budgétaire rigoureuse via des mesures d’austérité. Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous : Il souhaite ainsi maintenir un excédent primaire de 1 % du PIB en 2019 et de 0,7 % du PIB en 2020, permettant une relative stabilisation du ratio d’endettement. Copyright © 1998-2019 - Tous droits réservés. 300 000 Oui mais désormais, les députés de la législature 64 ont approuvé la suppression de ce qui place au-dessus des lois le président du Mexique. Andrés Manuel Lopez Obrador, le premier président de gauche de l’histoire récente du Mexique, a officiellement pris ses fonctions samedi. Publié le : 29/01/2019 - 10:54 Modifié le : 29/01/2019 - 16:13. LES PROGRÈS. Le président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador a été menacé jeudi par des membres présumés d'un groupe criminel qui exigent le retrait des militaires déployés pour combattre les vols de carburant, sous peine de s'en prendre aux forces de l'ordre et aux civils.Cette menace intervient deux semaines après l'incendie meurtrier, dans le centre du pays, d'un oléoduc qui présentait une fuite où des habitants venaient dérober de l'essence; en pleine offensive du gouvernement mexicain contre les vols de combustible.Un véhicule contenant une fausse bombe a été abandonné jeudi matin devant une raffinerie à Salamanca, dans l'État de Guanajuato (centre), selon une image diffusée par la présidence mexicaine.Des pancartes exigeant la libération de présumés criminels arrêtés récemment dans le cadre de la stratégie nationale de Lopez Obrador contre le vol de carburant, et demandant le retrait des soldats déployés à Guanajuato, ont été découvertes à proximité.Elles étaient signées du chef présumé d'un groupe criminel baptisé Santa Rosa de Lima, qui menace de s'en prendre aux militaires et à des civils si ses revendications ne sont pas entendues.«Il n'y avait aucun explosif dans le véhicule abandonné», a indiqué le porte-parole de la présidence, Jesus Ramirez. Une réalisation de MédiaQMI inc. L'incident est «de toute évidence lié aux opérations contre le vol de combustible», a-t-il ajouté, en précisant qu'une enquête avait été ouverte.Il s'agit d'une «fausse alerte», a commenté M. Lopez Obrador lors de sa conférence de presse quotidienne au Palais national.Le président mexicain, qui a pris ses fonctions le 1er décembre, a lancé une offensive contre les vols de combustible qui coûtent environ 3 milliards de dollars à l'entreprise publique Pemex, et génère de nombreuses violences.Ces présumés criminels «envoient un message très direct, une menace que le gouvernement doit analyser dans toute son ampleur et réévaluer la sécurité du président», a affirmé à l'AFP l'ancien procureur antidrogue Samuel Gonzalez.Le président mexicain a choisi, après son arrivée au pouvoir, de dissoudre le groupe chargé de sa protection et bénéficie d'une sécurité limitée.«Le peuple me protège», martèle ce président de gauche qui voyage sur des vols commerciaux et a décidé de vendre l'avion présidentiel.Le Mexique a enregistré en 2018 un chiffre record de violences, avec 33 341 homicides en 2018, soit le nombre le plus élevé depuis le début des statistiques en 1997.