C'est fou de s'en prendre à des ruches », souffle l'apiculteur de 75 ans, dépité.Pourtant, l'accès à l'îlot est compliqué : le pont-levis, fermé, est cerné par des grilles dotées de piques pointues. Il y aura de la mortalité car le toit est parti. Les habitants de la ville ont été surpris par une grande inondation en plein milieu de la nuit. Mais j'aurais vraiment dû appeler la police », regrette Micheline.Les ruches n'étaient pas leur seule cible : à la nuit tombée, alors que le parc Pic était fermé, les jeunes ont saccagé du mobilier urbain.« On les voyait rouler les poubelles jusqu'au ruisseau, ils ont cassé quelques planches des bancs et ils ont commencé à mettre le feu aux jeux d'enfants. Nous réfléchissons à un meilleur dispositif pour empêcher l'accès aux ruches. »Vanves, le 7 janvier. Un décret d'application doit préciser les conditions de mise en œuvre de cette information.Les informations contenues dans cette page restent d'actualité et seront modifiées dès l'entrée en vigueur du texte. « C'est un jeu stupide de quelques gamins, résume le maire (UDI) Bernard Gauducheau. Lundi - Jeudi : 8h30 - 12h30 13h30 - 17h30 Vendredi : 8h30 - 12h30 L’hiver, les essaims sont réduits de moitié et restent confinés dans les ruches pour maintenir les reines au chaud. A Vanves, un carrefour sous l'eau - Témoins BFMTV. Le vendeur ou le bailleur doit informer l'acquéreur ou le locataire que le logement qu'il projette d'acheter ou de louer est situé dans une zone présentant un risque naturel, minier et technologique. « C'étaient trois jeunes, dans les 16, 17 ans. Vanves, ce mardi. Je les ai vus jeter quelque chose dans le ruisseau, sans doute la ruche » énumère Mireille.

Un essaim entier, soit 30 000 abeilles environ, a été retrouvé mort dans une ruche flottant sur le cours d'eau du Après l'avoir découvert le mardi matin le 7 janvier, le gardien de cet espace vert a immédiatement alerté Pierre Kerg, l'un des quatre apiculteurs dont les ruches reposent sur un îlot du parc.Deux autres de ses six ruches, ainsi qu'une troisième appartenant à un deuxième apiculteur, ont été retournées.
Nous vous avions proposé un article sur le Paris d’avant 1900 et bien voici la suite. Mais j'aurais vraiment dû appeler la police », regrette Micheline.Les ruches n'étaient pas leur seule cible : à la nuit tombée, alors que le parc Pic était fermé, les jeunes ont saccagé du mobilier urbain.« On les voyait rouler les poubelles jusqu'au ruisseau, ils ont cassé quelques planches des bancs et ils ont commencé à mettre le feu aux jeux d'enfants. Il peut être aidé si besoin du professionnel (agent immobilier par exemple) qui intervient dans la vente ou la location du bien en fonction des informations contenues dans l'arrêté préfectoral.Le vendeur ou le bailleur doit conserver une copie de l'ERNMT daté et signé par l'acquéreur ou le locataire pour être en mesure de prouver qu'il a bien été remis.L'ERNMT doit avoir été réalisé moins de 6 mois avant la signature de la promesse de vente (ou à défaut à l'acte de vente) ou du bail.Si ce document manque et que l'acquéreur découvre que le logement est situé dans une zone à risques, il peut saisir le tribunal de grande instance (TGI) pour demander la diminution du prix de vente, voire l'annulation de la vente.En outre, si le bien a subi un sinistre ayant donné lieu au versement d'une indemnité au titre des effets d'une catastrophe naturelle ou technologique, le vendeur est tenu de le mentionner dans l'acte de vente. Cela signifie que chaque fois que vous visitez ce site, vous devrez activer ou désactiver à nouveau les cookies. Il y a 3 m. 00:15. Pierre Kerg, apiculteur amateur à la retraite, a perdu tout un essaim d’abeilles dans un acte de vandalisme le 6 janvier au soir.
« C'étaient trois jeunes, dans les 16, 17 ans. Les routes et les immeubles sont complètement immergés sous l'eau. Dimanche, une dizaine d’agents de Grand Paris Seine Ouest sont intervenus aux côtés des agents d’astreinte de la ville pour prêter main-forte aux habitants impactés. »Vanves, le 7 janvier. Comme elles, plusieurs riverains se plaignent des nuisances sonores causées par des bandes de jeunes dans cet espace vert.Pierre Kerg, lui, a envoyé un courriel au maire pour demander l'installation de caméras de surveillance.